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Deux jours pour découvrir -ou perfectionner- ses propres qualités de conteur: mais quelle est la différence entre conter et exposer les événements?


Il faut tenir bien en compte que lorsqu’on conte on n’est pas «transmetteurs neutres» d’un quelque chose élaboré par autres, et qu’on ne s’agit pas d’une transmission intégrale de données déjà prêtes à l’usage, d’une façon semblable au code-barres.

Je crois que, pendant une narration, pour transporter le spectateur à l’intérieur du récit il soit essentiel le montrer l’avis du narrateur.

L’avis de sa peau, pas de compliquées théories : ça me plait, c’est dégoutant, ça fait rigoler, il m’attendrit, c’est fou, c’est magnifique, c’est ça qui fait vivre le récit pour le comédien comment pour le public, c’est pas le cataloguer, tout d’abord, qu’on parlera de quelque chose d’agréable, de dégoutant, de comique, de touchant, de fou, de magnifique.

La relation avec le texte change tout à fait. Il y a un espace pour le conteur au centre du récit, pas seulement de la scène. L’archétype qui s’enracine dans  chaque fable, l’émotion cachée par un visage ou un geste saisis en passant, ils ont un pont qu’ils permit rejoindre le spectateur, si le conteur a conscience et maîtrise des langages que -aussi quotidiennement comme inconsciemment- nous employons dans nôtres interactions.

 

Chaque élève doit choisir et très bien apprendre une fable traditionnelle (pas très longue, svp).

Si quelqu’un veut introduire dans son travail de conte un -ou plus- objet, il serait possible seulement pour objets ou pantins AUTOPRODUITS.

Toutes les idées sont les bienvenues, à la même façon de la musique.

Si vous jouez un instrument, portez-le. 

S’habiller confortablement (PAS DE TENUES GYMNIQUES).

 

 

Info :       0039 347 - 777 94 16 

0039 0532 - 77 13 52              

info@fabriziobonora.net

 

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